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jeudi 23 décembre 2010

Mbaye Pekh: «un lèche-béotisme sans fin »


Le titre est peut être sévère mais c'est la qualification exacte qu'on donne à un beau parleur qui ose ouvrir sa gueule pour soit disant donner des leçons aux journalistes.

je rejoins l"idée du blogueur Momar car il représente ma bouche. j'ose dire comme lui que "’jai été outré de constater qu’aucune autorité de la République, politique ou religieuse, ni dans le gouvernement encore moins dans l’opposition, ne s’est émue des déclarations provocantes de Mbaye Pekh à l’endroit de la presse. Je ne comprends pas non plus le mutisme du Synpics à ce sujet.

Il y a des personnes dont le silence rendrait un grand service à la République, en particulier à la communauté mouride, qui se passerait volontiers d’individus dont la tortuosité est le deuxième nom. Ces beaux-parleurs qui vivent aux dépens de leurs semblables, et qui font de leur vie un lèche-béotisme sans fin. Lorsqu’on est « responsable », et qu’on a la chance de côtoyer des khalifes généraux et autres leaders d’opinions, on se doit de mesurer son langage, d’éviter de verser dans l’excès de zèle, et surtout, de dresser les citoyens les uns contre les autres. Avec tout le respect que l’on doit aux aînés, force est de noter que les dernières déclarations du « griot de l’alternance » à l’endroit de la presse, ne sont que pure provocation, une apologie de la violence et un appel à la haine.

Car appeler des citoyens à lever la main sur d’autres citoyens, quel que soit le prétexte, relève de l’irresponsabilité voire de m’immaturité. Dans un pays qui se respecte, monsieur aurait été entendu et invité à retirer ses propos dans les plus brefs délais avant de présenter des excuses. La presse, comme n’a de cesse de le rappeler Diatou Cissé, a ses tares, comme tous les corps de métiers.

Ce n’est pas pour autant qu’elle se laissera dicter des leçons de déontologie par une « machine à répéter » qui a fait de la flatterie et du verbiage son gagne-pain, et qui se permet de proférer des menaces verbales et de promouvoir la violence et la haine à l’endroit d’une profession. Comme quoi, la sagesse, des fois, n’a rien à voir avec l’âge, ni avec les cheveux grisonnants.

mercredi 22 décembre 2010

Pour polir son image Yayah Jammeh tente de corrompre des journalistes dont Baba Aidara correspondant de la RFM à Washington


Le président de la Gambie, Yaya Jammeh a perdu toute sa sérénité depuis que la presse a commencé à faire des révélations sur ses pratiques. L’affaire des cargaisons d’armes continue également de le perturber selon une source digne de foi révélée par le site bitimrew.com.
le site internet explique "Le président gambien a envoyé un riche homme d’affaires pour contacter des journalistes. Ce dernier a pour mission de corrompre des journalistes gambiens installés à l'extérieur connus pour leur opposition à son régime mais aussi des sénégalais."

Son objectif est simple. Yaya Jammeh demande à ses journalistes de le défendre sur le plan international à travers des articles de presse. «Il faut défendre Yaya dans cette affaire des armes iraniennes » dit l’émissaire du président Gambien.

Ce n’est pas tout. Le président Jammeh a demandé aux journalistes gambiens qui accepteront ses propositions de discréditer des organes de presse gambiens comme : «Maafanta», «Senegambianews», et «Gambiaecho ». Ces journaux sont réputés hostiles au régime gambien.

Depuis Washington, un des émissaires de Yaya Jammeh est entré en contact avec Baba Aïdara, journaliste et correspondant de la RFM.

L’envoi tout spécial de Yaya Jammeh s’est dit prêt à organiser une audience entre Baba Aïdara et Yaya au Maroc. La présidence gambienne a accepté de prendre en charge tous les frais du voyage.

Mais l’émissaire du président gambien ne savait pas qu’il avait à faire avec un homme intègre. «Je n’entre pas dans ces combines. Je ne comploterai jamais contre mon pays le Sénégal. Vous savez, je suis de double nationalité. Et la législation américaine est sans pardon sur ces cas de corruption. En plus, je représente une radio (Rfm) qui me donne entière confiance » a répondu sèchement Baba à l’émissaire de Yaya qui voulait le corrompre.

Se souciant de sa crédibilité, Baba voue un grand respect à ses auditeurs qui le qualifient de «journaliste honnête ».

«Le retour de la paix en Casamance est devenue une religion chez moi car ayant une partie de moi qui est de cette partie du Sénégal. Je veux parler de ma mère qui est de Bignona. Mon soutien envers le président pour le retour de la paix dans cette région du Sénégal sera sans faille. Et personne ne pourra me détourner de cette trajectoire » nous a-t-il confié par téléphone.

Reste maintenant à savoir si les journalistes sénégalais contactés par cet homme d’affaire gambien accepteront de jouer le jeu de Yaya Jammeh.

mardi 21 décembre 2010

Un fakhman dans le Fesman : Comment draguer la fille du président


j'ai remarqué une chose dans les écrits de certains journalistes. L'ironie!! c'est le mot exacte. Apres la belle blague du journaliste Momar Mbaye sur le Mariage entre le tonitruant journaliste Souleymane Jules Diop et Syndiély Wade, je viens de découvrir un autre texte sur le site ruepublique.com qui reparle encore de Sindiely. En fin de compte je me demande si la fille du président n'a pas de la "classe" sans déplacement latéral comme le disait le sociologue évoquant les quatre maladies du Président Abdoulaye WADE. Elle est belle ,elle a un regard d'enfer... mais suis-je pas là en train de tomber sous le charme de cette nymphe de la famille royale? Peut-être!!! mais je pense que ce
Fakhman (vagabond) le veut plus que moi . Il marche sur sa tête en matant cette belle créature.


La muette du palais devient une vraie show-woman. Certes elle est séduisante, c’est une fée à la limite, mais elle ne fait pas de merveilles en sa qualité de promotrice de spectacles. Elle est mignonne dans sa peau de pilote. Si elle restait dans sa coquille, dans sa belle voiture de rallye elle mériterait une bonne note. Mais Aida tue son indiscrétion et joue à la fille gâtée du président. Elle fait irruption dans la rue publique pour être traitée évidement comme tous les fakhmans qui squattent ce populeux coin. « Hum, tu es belle, donne moi ton numéro et passe ce soir à la Senzala », même le p'tit rat de palais est libre de la draguer par ces termes aussi vulgaires.

Pour la tutoyer, il a aussi le droit de faire passer sa pauvre main sous sa belle chevelure métissée. Tout est permis ici ! C’est la fête car c’est la fille du président de la rue publique qui nous gratifie ce grand « simb » international. Oui, tout est permis ici, mais si Gaindé Wada, le "simbkatt" en chef, sort ses griffes, tous les petits charmeurs de la Fée-Show-Woman, gratteront leur nuque. Pour la note du jour, c’est compliqué pour Fakhman. Puisqu’il ne veut pas tomber sous le charme de la sœur de « Cas rhume », il demandera à Tanor Gbagbo et hyène Tine de donner une note à la « fiancée » du tonitruant Jules Diop. En attendant les pangoles seréres viendront certainement à leur rescousse pour museler Mame Gaindé prêt à rugir en 2012.

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