
Go to Blogger edit html and find these sentences.Now replace these sentences with your own descriptions.
Go to Blogger edit html and find these sentences.Now replace these sentences with your own descriptions.
Go to Blogger edit html and find these sentences.Now replace these sentences with your own descriptions.
Go to Blogger edit html and find these sentences.Now replace these sentences with your own descriptions.
Go to Blogger edit html and find these sentences.Now replace these sentences with your own descriptions.
Son objectif est simple. Yaya Jammeh demande à ses journalistes de le défendre sur le plan international à travers des articles de presse. «Il faut défendre Yaya dans cette affaire des armes iraniennes » dit l’émissaire du président Gambien.
Ce n’est pas tout. Le président Jammeh a demandé aux journalistes gambiens qui accepteront ses propositions de discréditer des organes de presse gambiens comme : «Maafanta», «Senegambianews», et «Gambiaecho ». Ces journaux sont réputés hostiles au régime gambien.
Depuis Washington, un des émissaires de Yaya Jammeh est entré en contact avec Baba Aïdara, journaliste et correspondant de la RFM.
L’envoi tout spécial de Yaya Jammeh s’est dit prêt à organiser une audience entre Baba Aïdara et Yaya au Maroc. La présidence gambienne a accepté de prendre en charge tous les frais du voyage.
Mais l’émissaire du président gambien ne savait pas qu’il avait à faire avec un homme intègre. «Je n’entre pas dans ces combines. Je ne comploterai jamais contre mon pays le Sénégal. Vous savez, je suis de double nationalité. Et la législation américaine est sans pardon sur ces cas de corruption. En plus, je représente une radio (Rfm) qui me donne entière confiance » a répondu sèchement Baba à l’émissaire de Yaya qui voulait le corrompre.
Se souciant de sa crédibilité, Baba voue un grand respect à ses auditeurs qui le qualifient de «journaliste honnête ».
«Le retour de la paix en Casamance est devenue une religion chez moi car ayant une partie de moi qui est de cette partie du Sénégal. Je veux parler de ma mère qui est de Bignona. Mon soutien envers le président pour le retour de la paix dans cette région du Sénégal sera sans faille. Et personne ne pourra me détourner de cette trajectoire » nous a-t-il confié par téléphone.
Reste maintenant à savoir si les journalistes sénégalais contactés par cet homme d’affaire gambien accepteront de jouer le jeu de Yaya Jammeh.