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dimanche 31 juillet 2011

Combat Balla gaye 2-Tyson

jeudi 6 janvier 2011

wareef du 06 janv 2011-Deuxième partie

wareef du 6 janv 2011 1: premiere partie

lundi 3 janvier 2011

Ngoné Ndiaye Guewel sur son altercation avec Ndiolé:« Je demande pardon »


Ngoné Ndiaye s’en mord les doigts. La plantureuse « tassukat » qui s’est illustrée de triste manière ces derniers jours par une vive altercation avec Ndiolé sur un plateau de télévision, se désole de ses frasques
Sentant sûrement son image sérieusement écornée par cet écart de conduite indigne d’un artiste, la femme d’Abraham Pipo Diop a vite fait de présenter des excuses publiques à celle qui se fait appeler « Diamant Noir » mais aussi au peuple Sénégalais.
« Que tout le monde me pardonne » qui n’a rien trouvé de mieux que de justifier sa bévue par … une erreur.

« C’était une erreur l’erreur est humaine je regrette cet acte. Ça ne va plus jamais se reproduire, regrette t-elle.

dimanche 2 janvier 2011

" MA DJINN" DE COUMBA GAWLO SECK : Un hommage à nos héros


Coumba Gawlo Seck, la chanteuse à la voix d'or est de retour. Depuis le 21 juin dernier, son nouvel album intitulé "Ma Djinn", composé de huit titres est disponible sur le marché national et international. À travers ce tube, Coumba Gawlo rend hommage aux hommes et femmes de vertu qui ont marqué l'histoire de ce pays.




Rien n'est plus beau que de rendre hommage à des personnes qui ont sué pour faire de leur pays ce qu'il est aujourd'hui. C'est ce qu'a compris Coumba Gawlo en rendant hommage, à travers la chanson "Ma Djinn", à nos héros qui ont marqué l'histoire politique, culturelle et religieuse du Sénégal.

Accompagné du rappeur Congolais Passi, Coumba, toujours au sommet de son art, a rendu hommage à Alboury Ndiaye, Samba Laobé, Lat Dior, Blaise Diagne, Senghor entre autres. L'amour est aussi au rendez-vous dans ce nouvel album à travers le titre « Topma ».

« Mono xam li cii bir fi ak dougoulo, mbeuguel cii xol rek lay diogué : té lou diogué ci xol, xol rek mo co mono xam. » traduit en substance en français « L'on ne peut pas mesurer la portée de l'amour tant qu'on n'a pas fait l'expérience, car il vient du cœur et le cœur a ses raisons». Après cette ode faite à l'amour, Coumba revendique son statut de Gawlo à travers la chanson « Way moma war». « Je me dois de chanter. Du fond de mon cœur, j'implore le monde...

Le chant est mon héritage, mon patrimoine. Je suis Gawlo, je suis née Gawlo, j'ai grandi dans l'univers du chant. J'ai hérité du chant. Le chant est mon élixir. Je ne sais faire rien d'autre que chanter». S'en suivent des chansons comme «Sama Bidew», «Wax», «Rêver», «Koumpa adouna» et «Sounguène xamone».

Dans cette dernière chanson, la chanteuse lève un coin du voile sur l'intimité de son enfance, sur son parcours, ses souffrances, non sans faire un clin d'œil à son père. Coumba qui chante en wolof a gardé son rythme mbalax avec une place faite à la percussion, au tama entre autres. Un album à écouter attentivement.

Beauté Sénégalaise







c'est ça qui fait la différence dans la mode.

mardi 28 décembre 2010

J’ai des inquiétudes très graves : j’ai des difficultés conjugales avec mon époux depuis bientôt 7 ans


J’ai tout tenté pour qu’il revienne à de meilleurs sentiments, mais en vain.je crois que je n’ai été que l’arbre qui cache la foret, celle qui lui a donné des enfants pour qu’il cache bien son vice.

Depuis 7 ans, nous dormons dans le même lit, mais il ne me touche pas, et refuse que je le touche. ce qui commence à me créer des problèmes gynécologiques. Je voudrais savoir les conséquences de ce sevrage. Merci


vos confidences par mail confidenceamour@gmail.com

lundi 27 décembre 2010

SINDIELY WADE « Les gens sont des mécontents. Si le festival était organisé par une société privée personne ne le critiquerait"


Les critiques menées à l’encontre du festival Mondial des arts Négres ne laisse pas indifférente Syndiely Wade. La délégué Générale adjointe du fesman est sortie de sa réserve pour faire comprendre à qui veut l’entendre que le festival est un record mondial. Selon elle il y a trop de gens mécontents dans ce pays. elle s’exprimait en marge du festicross auquel elle a pris part. et vous savez quoi, la fille du président est aussi une sportive dans l’âme; elle a fait le parcours des 5km lors du festicross sans faute.

voici quelques photos

vendredi 24 décembre 2010

CONDAMNÉ À 15 ANS DE TRAVAUX FORCÉS POUR AVOIR TUÉ SON AMI : Aliou Kébé regrette et promet de donner à son enfant le nom de la victime


Placé sous mandat de dépôt le 22 février 2006, pour le meurtre de son ami Maodo Malick Camara, Aliou Kébé devra rester en prison jusqu'en 2021. Ainsi en a décidé la présente Cour d'assises qui l'a condamné hier à 15 ans de travaux forcés.

C'est le 22 février 2021 que Aliou Kébé, placé sous mandat de dépôt le 22 février 2006, devrait recouvrer la liberté. Jugé hier par la Cour d'assises de Dakar, pour le meurtre commis sur la personne de Maodo Malick Camara, le 11 février 2006 aux Hlm Fass, l'accusé a reconnu sans ambages en être l'auteur. S'expliquant sur les circonstances de ce drame, Aliou Kébé, 30 ans, a précisé à la Cour que tout est parti de la somme de 80 000 F qu'il avait confiée à un ami. Venu récupérer son argent, celui-ci lui a dit l'avoir remis à Tidiane Dione, un jeune du quartier, «qui a misé l'argent dans les jeux de hasard et perdu». Tenant vaille que vaille à entrer dans ses fonds, il soutient être tombé sur Tidiane, le jour des faits au soir.

L'ayant interpellé, ils ont fini par se battre et Tidiane, un videur de profession, l'a tabassé et humilié. Pour laver cet affront, il est allé chez lui s'armer d'un couteau. C'est sur ces entrefaites, note-t-il, que l'ayant vu, Maodo Malick Camara a tenté de le raisonner. Cherchant à énergiquement se débarrasser de lui, il a révélé l’avoir poignardé au niveau de la cage thoracique. Puis il s’est enfui, avant de se livrer le lendemain aux limiers de la Médina qui avaient interpellé sa mère. Plus loin, il a confessé avoir agi sous le poids de l'ivresse, après avoir siroté un carton de vin rouge. Une version battue en brèche par Tidiane Dione, qui a témoigné l'avoir retrouvé ce jour, en compagnie de condisciples «Baye Fall», sous un immeuble des Hlm Fass, ivre et en possession d’un couteau.

Le parquet avait requis 20 ans de travaux forcés

Poursuivant, Tidiane Dione a martelé qu'il n'y a jamais de problème d'argent entre l'accusé et lui. L'autre témoin, Seydina Niang a soutenu avoir vu ce jour la victime plaisanter avec l'accusé qui tenait un couteau, en le traitant de boucher. Des railleries non appréciées par celui-ci. À la minute d'après, il a entendu Maodo Malick crier : «il m'a piqué». En compagnie de ses condisciples, ils ont tenté d'affréter en vain un taxi. Ils ont alors attendu l'arrivée des sapeurs-pompiers. La victime qui avait perdu beaucoup de sang a fini par rendre l'âme. Autre témoin, Harouna Dème a confirmé que la victime et l'accusé étaient des amis d'enfance. Après avoir corroboré les témoignages de ces prédécesseurs, il a précisé que l'accusé est un adepte de Bacchus, un drogué, qu'il est très belliqueux et qu'il a l'habitude de se promener avec un couteau.
Défendant les intérêts de Diariatou Mbodj, mère de la victime, Me Djiby Diallo a réclamé 50 millions d'intérêts civils. À sa suite, l'Avocat général, qui s'est interrogé sur le mobile du meurtre, a rejeté le prétexte de l'ivresse. L'Avocat général est convaincu que l'accusé avait posé des actes attestant de sa lucidité avant la commission du drame.

Ce qui, selon lui, dénote l'intention manifeste de donner la mort, corroborée par la partie sensible visée. Fort de quoi, il a requis 20 ans de travaux forcés. Mes Cheikh Tidiane Seck et Mamadou Seck ont reconnu que l'homicide est incontestable, mais que, pour autant, il reste à se demander si l'accusé l'a volontairement commis. Pour toute réponse, ils ont souligné que c'est en cherchant à se débarrasser de l'emprise de la victime que leur client l'a poignardée instinctivement. Concluant, ils ont demandé que la Cour disqualifie les faits en homicide involontaire. Pour son dernier mot, l'accusé a dit regretter son geste et a promis de se marier une fois libre pour donner à son enfant le nom de la victime. La Cour a condamné son hôte à 15 ans de travaux forcés et à allouer 20 millions de francs à la partie civile.
Source: popxibaar

jeudi 23 décembre 2010

Mbaye Pekh: «un lèche-béotisme sans fin »


Le titre est peut être sévère mais c'est la qualification exacte qu'on donne à un beau parleur qui ose ouvrir sa gueule pour soit disant donner des leçons aux journalistes.

je rejoins l"idée du blogueur Momar car il représente ma bouche. j'ose dire comme lui que "’jai été outré de constater qu’aucune autorité de la République, politique ou religieuse, ni dans le gouvernement encore moins dans l’opposition, ne s’est émue des déclarations provocantes de Mbaye Pekh à l’endroit de la presse. Je ne comprends pas non plus le mutisme du Synpics à ce sujet.

Il y a des personnes dont le silence rendrait un grand service à la République, en particulier à la communauté mouride, qui se passerait volontiers d’individus dont la tortuosité est le deuxième nom. Ces beaux-parleurs qui vivent aux dépens de leurs semblables, et qui font de leur vie un lèche-béotisme sans fin. Lorsqu’on est « responsable », et qu’on a la chance de côtoyer des khalifes généraux et autres leaders d’opinions, on se doit de mesurer son langage, d’éviter de verser dans l’excès de zèle, et surtout, de dresser les citoyens les uns contre les autres. Avec tout le respect que l’on doit aux aînés, force est de noter que les dernières déclarations du « griot de l’alternance » à l’endroit de la presse, ne sont que pure provocation, une apologie de la violence et un appel à la haine.

Car appeler des citoyens à lever la main sur d’autres citoyens, quel que soit le prétexte, relève de l’irresponsabilité voire de m’immaturité. Dans un pays qui se respecte, monsieur aurait été entendu et invité à retirer ses propos dans les plus brefs délais avant de présenter des excuses. La presse, comme n’a de cesse de le rappeler Diatou Cissé, a ses tares, comme tous les corps de métiers.

Ce n’est pas pour autant qu’elle se laissera dicter des leçons de déontologie par une « machine à répéter » qui a fait de la flatterie et du verbiage son gagne-pain, et qui se permet de proférer des menaces verbales et de promouvoir la violence et la haine à l’endroit d’une profession. Comme quoi, la sagesse, des fois, n’a rien à voir avec l’âge, ni avec les cheveux grisonnants.

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